ELVIN JONES vers la fin de sa carrière (peut-être aussi au début) avait tendance à abuser un temps soit peu, de certains produits alcoolisés, pinards,whiskies et autres joyeux liquides.Son épouse japonaise décida un jour d’y mettre un frein, en faisant la chasse à la maison et surtout sur les lieux de concerts à tout ce qui pouvait ressembler à des substances enivrantes.
Le pauvre ELVIN eu du mal à trouver une planque pour ses flacons euphorisants. Il finit par trouver la cachette idéale dans le gros tom basse de sa batterie.
En espérant que vous me pardonnerez cette expression consacrée mais fort à propos: « Ce brave Elvin était souvent plein comme un fût. ».
La preuve :
Crédit: Stephane Vigny
