jazz in, le jazz en mode multimédia

Generic filters

LUZ, toujours plus de hauteur et d’aventures

LUZ, 29e ÉDITION DU PLUS BEAU FESTIVAL D’ALTITUDE POUR OREILLES AVENTUREUSES

Difficile de résister à l’appel de la montagne face à une affiche réunissant Peter Brötzmann, Camille Émaille, Sidsel Endersen, The Hatch, l’ONJ + Tim Berne…
On pourra lister les coups de cœur, par ordre d’apparition :

  • Peter Brötzmann & Heather Leigh

 

  • Noorg (Éric Brochard & Loïc Guénin)

 

  • Sidsel Endersen & Stian Westerhus

 

  • Mette Rasmussen & Camille Émaille

 

Des duos, rien que des duos, et chaque fois des rencontres au sommet – c’est ça un festival d’altitude. Soit une vue panoramique sur ce qui se joue de plus inventif, de plus stimulant dans l’espace du duo, fil d’Ariane de cette édition.

Mais Jazz à Luz est un tout. Au cœur des Hautes-Pyrénées, c’est aussi les retrouvailles entre amis – la grande famille des festivaliers sur le site du Verger et les repas mijotés avec amour par les bénévoles…

Entre regards et sourires, ce sont probablement les artistes invités qui en témoignent le mieux.

12mettecamDSC08614_1_1
2triovicDSC08972
11hatchDSC08585
18onjDSC08449
9brotzDSC08649
9onjDSC08463
30onjDSC08510
2mettecamDSC08829_1

Précédent
Suivant

Luz, c’est la perspective de belles découvertes – Camille Émaille (en solo, en duo inédit avec Mette Rasmussen – une demande de Jazz à Luz) ou le trio Vicente / Govaert / Gebruers.

 

C’est aussi la balade en montagne que tous les aficionados attendent : cette année direction le plateau de Bernazaou.

Suspense lié aux aléas de la météo… Puis le pari est pris : concert maintenu sur le plateau. Quelques gouttes de pluie au petit matin, on installe, on enlève, on réinstalle le barnum. Les nuages glissent, s’en vont ailleurs le long des sommets. Magnifique point de vue sur les montagnes du pays toy avant que Noorg résonne en harmonie profonde avec le paysage. Sans doute la plus belle expérience de ce festival, avec pour final un solo ébouriffant ébouriffé d’Éric Brochard à la contrebasse.

 

Pendant 4 jours nos oreilles ont tutoyé les cimes, des solis de l’ONJ au chamanisme de la voix de Sidsel Endersen, présence magnétique, en osmose avec les nappes de son de la Gibson de Stian Westerhus – elfe dansant par dessus sa collection de pédales d’effet. Et c’était d’une beauté fascinante.

Jazz à Luz : définitivement le plus beau festival d’altitude !

 

 

Textes et photos: Jean-Yves Molinari


Reportage à suivre en cliquant ICI

Partager

Publications récentes

Catégories

Archives